Eau noire de manganèse, contamination fécale, problèmes chroniques de pression, assurance refusée… La vingtaine de municipalités des Laurentides obligées de reprendre la gestion d’aqueducs abandonnés ne sont pas au bout de leurs peines. Les réseaux sont délabrés, même si Québec devait en assurer la surveillance. Un dossier d’Hugo Joncas.
@Grappling7155
Pourtant, le privé, c’est 1000 fois supérieur au public, plus efficace, plus performant, etc, etc, etc.
C’est du sarcasme.